Litige avec M. Lupant

A lire dans la province de ce vendredi 18/03/2011

http://www.sudpresse.be/regions/mons/2011-03-18/logis-st-ghislainois-un-huissier-pour-cloturer-le-litige-858226.shtml


Plus de détails dans l'édition papier

Audit au Logis Saint-Ghislainois

Le Journal "La Province" relate dans son édition du samedi 12/03/2011, les grandes lignes d'un audit récent au sujet du "Logis Saint-Ghislainois".

Affaire à suivre

ci-dessous lien vers l'article sur le site de la province

http://www.sudpresse.be/regions/mons/2011-03-12/saint-ghislain-l-audit-du-logis-est-preoccupant-856617.shtml

M. Lupant a finalement payé son dû

Suite à la plainte de M. Lupant envers Vincent Charles et moi-même une procédure judiciaire a été engagée envers nous.

Nous nous sommes défendu sans avocat dans un premier temps, puis avec deux avocats lorsque la procédure est finalement passée au tribunal.

Par son ordonnance du 13.12.2010, la Chambre du Conseil de Mons a condamné Georges LUPANT à nous payer ( vincent charles et moi-même ), chacun, la somme de 600 € au titre d'indemnité de procédure réduite, vu l'absence de difficulté de l'intervention de chacun de nos deux avocats.

La plainte de M. Lupant a donc été rejetée, nous aurions pu nous aussi déposer plainte à son égard pour la même raison mais dans le but d’apaiser tout cela nous n’avons rien fait.

Nous étions satisfait du fait que la raison et la démocratie avaient eu gain de cause dans ce dossier.

En dépit d'une condamnation prononcée en date du 13.12.2010, M. Lupant n'a finalement payé qu'en mars, par voie d'exécution forcée d'huissier de justice.

En bon citoyen confiant en la justice nous avons patienté en croyant que M. Lupant était respectueux de la loi

Ce n'était semble-t-il pas le cas, d'où l'obligation de recourir à un huissier pour faire valoir nos droits non respectés par M. Lupant

Nous déplorons ce recours à un huissier pour percevoir une somme due par décision de justice.

M. Lupant a décidément beaucoup de difficultés à admettre que son autorité soit mise à mal.

Guy Leloux